Féminisation et rédaction épicène
La page Féminisation et rédaction épicène rassemble les différents contenus que l’Office québécois de la langue française met à votre disposition sur ces sujets pour vous permettre d’appliquer adéquatement les principes de la rédaction épicène.
Des formations en ligne
- Formation par visioconférence
- Autoformation (2020)
Des articles linguistiques détaillés
- Plus de 50 articles regroupés dans la section Féminisation et rédaction épicène
- Une liste de plus de 1500 appellations de personnes au masculin et au féminin
- Une liste de termes épicènes ou neutres
- Une foire aux questions fournissant des réponses aux questions les plus fréquemment posées au sujet de la féminisation des appellations de personnes et de la rédaction épicène
Des aide-mémoire pratiques
Rédiger épicène, pour des écrits plus inclusifs
Cet aide-mémoire, offert en parallèle avec les articles sur la féminisation et la rédaction épicène, présente les grandes lignes de ce style de rédaction.
Les appellations de personnes : des mots précis à découvrir!
Offerte en complément des articles de la section Féminisation des appellations de personnes, cette infographie présente quelques exemples d’appellations de personnes et met en relief les différents modèles d’alternance du masculin et du féminin.
Pour des lettres inclusives
Le présent aide-mémoire, offert en parallèle avec les articles des sous-thèmes Formulation neutre et Lettre, propose quelques conseils pour rédiger une lettre sans marques de genre ou pour adapter une lettre qui en comporte.
Un avis de recommandation
Vous voulez connaître la recommandation officielle de l’Office en matière de rédaction épicène? Consultez l’avis d’officialisation en vigueur. Dans un souci d’exemplarité, les organisations de l’Administration doivent en tenir compte dans leurs écrits.
Qu’est-ce que l’officialisation linguistique?
La féminisation et la rédaction épicène en dix mots
Pour aller plus loin…
Petite histoire de la féminisation linguistique et du rôle de l’Office
Dans la francophonie, c’est d’abord et surtout au Québec, dans les années soixante-dix et quatre-vingt, que la féminisation des appellations de personnes s’est développée. Des postes autrefois occupés surtout par des hommes s’ouvraient aux femmes. À ce moment, la création de noms féminins a permis de combler des lacunes lexicales.
À cette époque, l’Office recevait des demandes d’avis de la part d’universités et de collèges, de ministères et d’organismes de l’Administration, d’entreprises et de formations syndicales. L’Office a fait paraître des avis de recommandation linguistique à la Gazette officielle du Québec. Dans un premier avis (1979), il recommandait l’emploi d’appellations de personnes au féminin pour désigner les femmes. Dans un deuxième avis (1981), il établissait les principes de base de la féminisation des textes, particulièrement dans l’affichage des postes. Ces deux avis ont été retirés et remplacés par une nouvelle recommandation officielle, en mai 2015, qui a fait l’objet d’une révision en juillet 2018.