Féminisation et rédaction épicène
Formations en ligne sur la rédaction épicène
La féminisation et la rédaction épicène dans la Banque de dépannage linguistique
La Banque de dépannage linguistique vous propose de l’information sur la féminisation et la rédaction épicène : des articles portant sur les procédés de rédaction épicène, une liste d’appellations de personnes au masculin et au féminin, et une liste de termes épicènes ou neutres pour vous aider à adopter la rédaction épicène.
Avis de recommandation
Vous voulez connaître la recommandation officielle de l’Office en matière de rédaction épicène? Consultez l’avis de recommandation.
Qu’est-ce que l’officialisation linguistique?
La féminisation et la rédaction épicène en dix mots
Pour aller plus loin…
Petite histoire de la féminisation linguistique et du rôle de l’Office québécois de la langue française
Dans la francophonie, c’est d’abord et surtout au Québec, dans les années soixante-dix et quatre-vingt, que la féminisation des appellations de personnes s’est développée. Des postes autrefois occupés surtout par des hommes s’ouvraient aux femmes. À ce moment, la création de noms féminins a permis de combler des lacunes lexicales.
À cette époque, l’Office recevait des demandes d’avis de la part d’universités et de collèges, de ministères et d’organismes de l’Administration, d’entreprises et de formations syndicales. L’Office a fait paraître des avis de recommandation linguistique à la Gazette officielle du Québec. Dans un premier avis (1979), il recommandait l’emploi d’appellations de personnes au féminin pour désigner les femmes. Dans un deuxième avis (1981), il établissait les principes de base de la féminisation des textes, particulièrement dans l’affichage des postes. Ces deux avis ont été retirés et remplacés par une nouvelle recommandation officielle, en mai 2015, qui a fait l’objet d’une révision en juillet 2018.