Coupure dans les sigles, les acronymes et les abréviations
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Même si la coupure (ou division) des mots doit être évitée dans certains contextes, elle est parfois indispensable; il convient alors de faire ces coupures dans le respect de certaines règles. Mentionnons cependant que les codes typographiques ne sont pas unanimes relativement à celles-ci. La coupure des mots doit par ailleurs être évitée dans les titres, dans l’affichage, dans les en-têtes de lettres, notamment dans les appellations d’organismes et de sociétés. Elle doit également être évitée autant que possible dans un texte soigné. Notons que, dans les exemples qui suivent, le crochet ouvrant ([) indique une coupure possible; la barre oblique (/), une coupure à éviter.
Il est préférable de ne pas diviser les sigles, les acronymes et les abréviations.
Sigles et acronymes
On ne divise pas les sigles ni les acronymes, à moins que ces derniers ne soient devenus des noms communs.
- FTQ (Fédération des travailleurs et des travailleuses du Québec)
- INRS (Institut national de la recherche scientifique)
- Unesco (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization; Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture)
- la[ser
- cé[gep
Abréviations
On ne divise pas non plus les abréviations.
- encycl. (et non en/cycl.; ni ency/cl.)
- s. l. n. d. (sans lieu ni date)
- suppl. (supplément)