Lisibilité

On préféreraSelon les rectifications de l’orthographe, on peut aussi écrire : préfèrera. une police de caractères qui se lit bien, par exemple, Verdana, Arial, Calibri.

Pour faciliter la lecture, tous les textes sont alignés à gauche, préférablement sur une seule colonne, et couvrent la moitié de la largeur de la page. On évite les phrases écrites entièrement en majuscules, car cela ralentit la lecture, et un texte justifié.

Le nombre de caractères par ligne devrait être de 60. Au-delà de ce nombre, il est difficile pour l’œil de trouver le début de la ligne suivante.

Il faut que le contraste entre le contenu et le fond de l’écran soit fort. L’idéal est un fond pâle et une écriture foncée.

Il faut éviter les images d’arrière-plan ainsi que les images animées. L’emploi d’imagettes cliquables est conseillé si de nombreuses images ponctuent une page. L’internaute décidera lesquelles il ou elle veut voir en gros format.

Les fenêtres surgissantes, c’est-à-dire les fenêtres qui apparaissent à l’intérieur d’une autre fenêtre, sans intervention de l’utilisateur, et qui servent à proposer des choix ou à envoyer un message quelconque en rapport avec la situation, ne sont pas à bannir, mais elles peuvent entraînerSelon les rectifications de l’orthographe, on peut aussi écrire : entrainer. des problèmes de navigation sur les petits écrans des téléphones intelligents, des tablettes et des mini-ordinateursSelon les rectifications de l’orthographe, on peut aussi écrire : miniordinateurs. portatifs.

Il est à noter que, selon les normes d’accessibilité du Web, tout élément non textuel tel qu’une illustration, une photo, un graphique doit comporter un texte de remplacement. Ce texte, d’au plus 150 caractères, doit présenter une description de l’image ou des données illustrées.