Code international des signaux
- Domaine
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- marinesignalisation maritime
- Dernière mise à jour
Définitions :
Ouvrage renfermant les éléments et les règles d'utilisation de tous les systèmes de signalisation - optiques, phoniques, radiotéléphoniques et radiotélégraphiques - destinés à permettre les communications entre les navires de commerce, de pêche ou de guerre de différentes nationalités et entre les navires et les stations à terre.
Publication donnant : 1) Les lettres et groupes de lettres constituant les signaux transmis par signes flottants (pavillons), signes Morse (lumineux et sonores), signes à bras, radio, ainsi que les méthodes de transmission par les divers moyens. 2) Les vingt-six pavillons alphabétiques, les dix flammes numériques et les substituts. 3) Les pavillons nationaux (guerre et commerce) et les marques des appareils aériens des différents pays maritimes.
Note :
Le premier code de signaux à usage maritime fut publié par le ministère du Commerce britannique en 1855. Il fut adopté par la plupart des nations maritimes. Trois conférences internationales à Washington et Madrid le modifièrent jusqu'au début des années 30. Après la Seconde Guerre mondiale, la révision du Code international des signaux fut confiée à l'Organisation intergouvernementale consultative de la navigation maritime. Entre 1959 et 1965, l'O. M. C. I. procéda à une refonte complète en fonction des exigences maritimes modernes. Le nouveau code, entré en vigueur en 1969, rédigé en neuf langues, est maintenant fondé sur le principe suivant : tout signal possède une signification particulière. La transmission des signaux peut se faire par n'importe quel procédé, y compris la radiotéléphonie et la radiotélégraphie, ce qui élimine la nécessité d'un code en volumes séparés.
Termes privilégiés :
- Code international des signaux n. m.
- Code International de Signaux n. m.
Traductions
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anglais
Auteur : Office québécois de la langue française,Terme :
- International Code of Signals
Termes associés :
- signal code
- code book