cheval
- Domaines
-
- zoologiemammalogie
- zootechnieélevage des équidés
- Dernière mise à jour
Définition :
Mammifère de la famille des équidés doté d'oreilles de petite taille, d'une robe dépourvue de rayures et d'une queue munie de grands crins dès la racine.
Note :
Le cheval est onguligrade, c'est-à-dire qu'il se déplace sur l'extrémité du doigt de chaque membre (son genou correspond au poignet ou à la cheville du squelette de l'homme).
Terme privilégié :
- cheval n. m.
-
Le x, utilisé pour noter le -us de l'ancien français, est un signe morphologique qui s'est étendu à tous les mots finissant au pluriel par -au, -eau, parfois -eu et -ou, c'est-à-dire la plupart des mots finissant par un graphème terminé par u.
Le pluriel de cheval est chevaux. Le désir de simplifier l'orthographe grammaticale en alignant la formation du pluriel de cheval sur la règle générale de l'ajout d'un s à la forme du singulier a semé la confusion dans les esprits. La forme chevals serait une réfection inutile puisque l'évolution phonétique qui sous-tend le passage du -als à -aux est accomplie.
Le pluriel fantaisiste en -als n'a pas été visé par les Modifications orthographiques de l'Académie française en 1975, ni par les Tolérances grammaticales de l'arrêté Haby de 1976 et encore moins par les Rectifications orthographiques du Conseil supérieur de la langue française de 1990. Seul l'ancien Projet de réforme mis de l'avant en 1939 par Albert Dauzat s'est intéressé au dossier des pluriels en x pour proposer de remplacer le x du pluriel par un s. Cette proposition aurait installé la forme chevaus. Elle n'a pas été retenue.
Traductions
-
anglais
Auteur : Office québécois de la langue française,Terme :
- horse